KOUKI 28

Une bonne nouvelle

Il y a bien longtemps que les koukis ont disparu de la scène acélienne : on ne pouvait plus offrir un plat de la carte de « Maître Sibor » suite à l’interdiction par la nouvelle municipalité de Couzon de confectionner les dits plats dans l’appartement que l’ACEL loue — et donc tous les acéliens,–  au 3 rue Philibert Gaillard (voir notre article http://www.acelcouzon.com/2015/01/17/le-3-phil-se-delocalise-a-saint-romain-au-mont-dor/).

Grâce à un ami de l’ACEL, à la tête d’un ERP, l’activité cuisine (plats à emporter, conférences et cours de cuisine) a pu reprendre et donc nous pourrons à nouveau offrir un plat de « Maître Sibor » à la gagnante ou au gagnant de ce 29ème KOUKI :

C KAN ?

C OU  ?

C KI ,

Cette photo est parue entre mars 2004 et mars 2014.

Pour les détails du règlement de ce jeu ACEL, se reporter à la page KOUKI.

Bonne chance à toutes et à tous les acéliens et amis !

« Maître Sibor »


2 réflexions sur “KOUKI 28

  • 21/02/2015 à 01:12
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    Je ne peux que sauter sur cette extraordinaire occasion!

    C KAN ?
    Entre mars 2004 et mars 2014 ? Soyons un peu plus précis.
    Un bel après-midi printanier, le dimanche 30 mai 2010 aux environs de 15h57 (cf montre du pongiste tout à droite), lors des journées finales du championnat de Rhône de tennis de table par équipes en départementale 3. Ou plutôt, dans un souci d’exactitude, devrai-je dire que la photographie a été prise après le dénouement épique d’une belle finale contre Givors, après également une demi-finale maîtrisée car gagnée 10 parties à 0, après également un bon repas au restaurant de la commune où l’événement avait eu lieu (voir plus loin : « C OU ? »).

    C OU ?
    Gymnase Municipal de Saint-Forgeux, petite commune dans le Rhône à l’Ouest de Lyon. Je reconnais effectivement la lumière on ne peut plus éblouissante du gymnase, expliquant l’aspect blanchâtre de la photographie (ou serait-ce celle des projecteurs braqués sur les grands gagnants, ou encore celle des flashs des paparazzis ?)

    C KI ?
    Le collectif avant-tout, décrivons l’équipe dans son unité :
    il s’agit de l’équipe 3 de l’ACEL Couzon tennis de table, accompagnée du coach (voir ci-dessous), portant le T-shirt sponsorisé par la Demeure du Chaos.
    Individuellement, de gauche à droite :
    – Sophie Journet, vaillante pongiste adepte de la défense; 38 ans sur la photographie.
    – Xavier Chastagner, à l’arrière-plan (1m98!), jeune boulanger talentueux, employé à l’époque et propriétaire à l’heure actuelle d’une boulangerie à Saint Priest (Fournil San-Priots). Parlons sport : style attaquant, un top spin du revers « qui tourne » comme on dit dans le jargon (bien que celui-ci n’était pas aussi flamboyant qu’aujourd’hui); 23 ans sur la photographie
    – Loïs Kédochim, alias Roboflop – ou Robotop selon la raquette, la hauteur du filet, la saison, l’état de la table, l’heure de son réveil et la fonctionnalité de son articulation tibio-fémorale gauche -, jeune collégien à l’époque, après un éprouvant brevet blanc début mai et un voyage scolaire en Suède mi-mai; 14 ans sur la photographie.
    – Joël Tverdenko, également connu sous le valeureux surnom « Boris », ou Maître Sibor, ou Maître, ou l’Epouvsib, éminent coach de l’équipe, à qui l’on doit en partie le gain du double Journet-Haddad contre celui de Givors alors que celui-ci perdait 7-0 à la cinquième manche
    – Julien Haddad, valeureux ping-pongeur au style attaquant, fin connaisseur en management.

  • 21/02/2015 à 14:12
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    Le saut de Roboflop m’a tout l’air d’être top,
    Car en lisant ses lignes, on ne peut qu’être sûr
    Qu’il gagnera le plat, issu d’une autre échoppe,
    Mais toujours Sibordien, bien que fait hors des murs.

    Quant à moi, j’ajournais, trop chaste à nier mes torts,
    Du quai d’Hô-Chi-Minh-Ville où mes maîtres si bor…
    déliques m’initiaient à ce doux adagio,
    D’Albi, nos nids pongistes pour des lits plus royaux.

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