De quoi parler sous les aubettes

LE PONT ROUVRE, ET C’EST L’HÉCATOMBE !

On les ramasse à pleines mains

Cette photo a été prises quelques heures après la réouverture du pont dans l’après-midi du vendredi 23 août, mais, selon certaines sources bien informées, le phénomène est apparu dès les premières heures de la matinée, et l’affluence des véhicules motorisés n’a donc en rien provoqué cette hécatombe, dont les traces ont cependant été constatées pendant plusieurs jours.

Le lundi 26 août, ils formaient encore un épais tapis devant la pharmacie de Couzon.

En ce mardi 27 août, tout a été nettoyé mais il reste encore quelques traces sur le pont…

Ceux-là n'ont pas réussi à atteindre les lumières de la croix verte.

Alors que s’est-il donc passé en cette période capitale pour la vie couzonnaise ? Aurait-ce un rapport avec Baudelaire ?

« Maître Sibor »

5 réflexions sur “De quoi parler sous les aubettes

  • 27/08/2013 à 13:23
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    C’est fou ce nouvel appareil photo rendre n’importe quelle prise magnifique ! Cette main est captivante.

  • 29/08/2013 à 13:10
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    Bonjour Grand Maître !

  • 29/08/2013 à 19:30
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    Les éphémères à Couzon : Vive Charles alors !
    Bonjour aussi

  • 30/08/2013 à 12:18
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    C’est vrai que les photos sont plutôt pas mal !
    Pourrait on avoir les références de l’appareil en question. Merci!

  • 05/09/2013 à 17:02
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    L’éphémère ébloui vole vers toi, passerelle,
    Qui relies les deux rives par-delà les bouillons
    De ce Styx des Monts d’Or, rugissant de plus belle
    En rêvant d’engloutir marins et moussaillons

    D’eau douce, d’eau salée, qu’importe l’amertume
    De la mer tuméfiée, blessée dans son orgueil :
    L’âme erre, tumultueuse, au milieu de l’écume
    De ces lames glacées que les enfants recueillent.

    Couzonnais, Rochetaillards, sont à nouveau liés
    Par ce filin d’acier, fellateur nécrophage,
    (car le pont sus…pendu, certes, c’est cavalier)
    Trait d’union salvateur apaisant les orages

    Au désespoir ; eau vieille, essaie : ne m’y prend plus
    À ce jeu de massacre, pont de la rivière Kwai
    Occidentalisé où les guerriers vaincus
    Sont les piétons pressant le fruit de leurs ventrailles.

    Barles Chaud de l’Air – Les M’lheurs du Phalle

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