1ER KOUKI, LA SOLUTION

C Kan ? : LE 20 FÉVRIER 2010.

C Où ?   : A MEXICO CITY, LE TEMPLE TEOTIHUACAN

C Ki ?    : PIERRE COLLET, PRÉSIDENT DE L’ACEL

LE GAGNANT :

Nicolas FUMET, capitaine de l’Équipe Fanion Tennis de Table 2011-2012. Il a été le premier à envoyer la meilleure réponse. Il gagne donc un plat de son choix dans la carte automne-hiver de « Maître Sibor » qui paraîtra sur notre site à partir de la mi-octobre.

QUELQUES PRÉCISIONS

Pour ceux qui visitent régulièrement notre site depuis sa création et donc,  qui sont à la pointe de la connaissance événementielle et fonctionnelle de l’ACEL, la solution de ce premier Kouki n’était pas très difficile.

C Kan ?  Dans les exemples du Kouki, nous avions fait paraître une photo du Président devant le Club-House de l’ACEL à Couzon   au  Mont  d’Or, France, et visiblement il ne faisait pas très chaud, « avant son départ pour le Mexique ». De plus, pour ceux qui s’en souvenaient, le Président avait délégué ses pouvoirs à Joël Tverdenko, MCA, du 1er janvier au 30 juin 2010.

C Où ? Un grand bravo à Nicolas FUMET qui a fait, nous l’avons vérifié, de nombreuses et très rapides recherches sur notre site, sur la toile et sur le blog de notre Président, ce qui lui a permi de donner, le premier, la plus grande précision (de même pour Jean-Tristan MORAND mais avec un grand retard sur Nicolas).

C Ki ? Avec notre maillot officielle et une telle attitude nonchalante dans la domination du monde, ce ne pouvait être que  Pierre COLLET, celui qui fut le plus jeune Président de l’ACEL lors de son élection en juin 2005, utilisant sa ductilité existentielle pour joindre à lui seul, la Pyramide de la Lune à celle du Soleil.

Bientôt des infos sur le prochain Kouki, et d’ici là, n’hésitez pas à commenter !

                 M.S.                                                                                                                                                             

Une réflexion sur “1ER KOUKI, LA SOLUTION

  • 24/10/2011 à 10:02
    Permalien

    Certes, c’était l’évidence même. un monument acélien assis sur un temple à ces liens mystérieux reliant l’astre du jour à celui des ténèbres. Quant à son caractère ductile, combien dût-il en souffrir pour que cet existentiel existe en cieux visés par des sommets Pyramidaux dont on se demande si le Point culminant se prénomme Fernand, ou bien Sibor, son fils spirituel ? La parabole culinaire This une toile arachnéenne entre Mexico et Vienne…

    Comment ne pas succomber à la métaphore ethnique en constatant que l’image Collet tant à cet édifice de Pierre qui est Incas si particulier qu’il brille autant que l’éclat de sa dentition que l’émail a ?

    Comment résister, enfin, à l’évocation de sa nourriture spirituo-sibordienne, visant au rapprochement charnel autant que carné entre Aztèques-Tartares et Mixtèques de cheval, tel le doute qui m’habite ?

    Pour conclure, sans tomber dans d’hypothétiques hypothèques des Zapotèques, je dirai que le parfum Quetzal ce céleste cliché ne pouvait qu’émaner d’un mec si co…..llectif dont l’égo n’a d’égal que l’altruisme révélé à ceux-là seuls qui osent creuser le mystère de ses belles fouilles si calcifiées.

    NicoB

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